9 mars 2010
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Les fesses sur le verglas,
La faute à Nicolas !
C'est encore l'hiver mais personne ne veut y croire. Pensez-vous, à deux semaines du printemps ! C'est écrit sur le calendrier !
Météo France lance des alertes de plus en plus pointues et avérées, mais les Français pensent qu'ils passeront à travers les flocons de neige.
On leur dit de rester chez eux pour éviter de rester bloqués dans leur voiture. Pfft ! Ca n'a arrive qu'aux autres !
Et c'est ainsi que, sous les palmiers enneigés de Perpignan, on glisse et on tombe, voire on meurt, mais peut-être de vieillesse.
Et tout ça bien sûr, c'est la faute aux pouvoirs publics qui n'ont pas salé assez à temps. En effet, dès que l'alerte est donnée, ne devrait-on pas saler toutes les routes, même si les averses de
neige ne recouvrent pas la totalité du département en alerte ?
Pauvres de nous ! Nous ne pouvons plus faire un pas sans vouloir qu'on nous tienne par la main.
Nos cerveaux seraient-ils à ce point gelés que nous ne soyions plus capables de raisonner par nous-mêmes ?
Eriam
24 septembre 2007
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Insupportable... le mot "faillite" prononcé par le premier ministre, qui a été jugé trop fort et inadapté.
Après les propos de Jean-Claude Trichet - président de la Banque Centrale Européenne - sur Europe1 hier soir (Paris dépensier N°1 de l'Europe), François
Fillon nous dit aujourd'hui que : "la situation des finances n'est plus supportable (nuance !), est critique, et que nous sommes devant l'échec d'un
système".
Encore un gros mot que l'on voudrait édulcorer. Néanmoins, le résultat est là et si rien n'est fait, nous irons droit dans le mur !
Jaloux... le Sieur Galouzin de Vilepeau, au chômage, qui vient mettre de l'huile sur le feu en accusant son successeur d'avoir dégradé la situation. Par ailleurs, il s'attaque à la forme olympique
de Nicolas Sarkozy qui lui permet d'être au four et au moulin. Sans doute est-il jaloux de ne pas courir aussi vite que le président et d'avoir ainsi été rattrapé par l'affaire Clearstream
?
Heureuse... Roselyne Bachelot, notre ministre de la santé (qui semble en avoir une florissante) s'est déclarée samedi matin sur Europe1 : "heureuse de travailler dans ce gouvernement".
C'est elle
qui a tenté de rassurer les médecins après les propos de Nicolas Sarkozy sur leur répartition à travers la France. Va-t-elle se faire taper sur les doigts
ou son intervention passera-t-elle inaperçue ?
Sérieux... - je l'ai gardé pour la bonne bouche - Lionel Jospin, le gai luron du PS, la bouche sèche, le propos sec, a parlé au Grand Jury RTL de SON livre qui sera sans doute LA
référence de l'automne en matière de littérature PS, et dont les meilleurs extraits ont déjà été diffusés dans la presse quotidienne. Il s'agit, vous l'avez deviné, de : "On a brûlé
Jeanne d'Arc une seconde fois".
D'après M. Jospin, (marié à une féministe, a-t-il rappelé) son livre sur Ségolène devrait aider le PS à se rassembler et à méditer sur ses erreurs que l'on pourrait résumer ainsi : "les femmes
: à la maison !".
Nous prenons acte.
Eriam
21 septembre 2007
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Remarquable tout d'abord la façon inélégante dont PPDA, sur le qui-vive, a volé la parole à sa consoeur et remercié Nicolas Sarkozy, au nom de France 2,
d'Arlette Chabot, de lui-même, et de TF1 (le dernier qui a parlé a toujours raison !). Remarquable également que ladite consoeur ait pu attraper la parole au vol, quitte à la couper au
président, et réussi à poser quelques questions. On ne la lui fait plus : en prenant de la bouteille, elle prend de l'assurance, et ce n'est pas l'indéfinissable couleur de cheveux de PPDA qui
pouvait l'impressionner !
Remarquable notre président que la fadeur de ses interrogateurs rendait plus lumineux dans son costume bien taillé, sa chemise d'un bleu intense,
et sa brillante prestation !
Remarquables les ministres de Nicolas Sarkozy dont il a énuméré certains et pas d’autres. Une exception pour Fadela Amara : elle est « extraordinaire » ! Sans doute a-t-il
soudain pris conscience qu’il répétait souvent le même adjectif qualificatif !
Quand à François Fillon : "on est comme les deux doigts de la main" "on se connaît par cœur" etc. Non, François ne se sent pas mis à l’écart, oui il est bien le chef du gouvernement.
Nous sommes rassurés sur ces points. Quant au reste de l’interview : "On ne m’a pas élu pour commenter les problèmes de la France. On m’a élu pour trouver des solutions à des problèmes qui
sont pendants depuis des années". Qu'on se le dise : "Je ne transigerai pas sur les régimes spéciaux".
Plus de ¾ d’heure de mises au point claires et nettes. On s'en serait douté : on n'annonce pas un remaniement ministériel plusieurs mois à l'avance !
Nicolas Sarkozy a-t-il une fois encore, convaincu les Français ? Les sondages ne vont pas tarder à nous le faire savoir.
Ah, j'oubliais ! Borloo, qui - paraît-il - fait un bon boulot, s'est tout de même fait renvoyer dans les cordes ce matin. Pourtant, c'est une bonne idée de vouloir geler les OGM quand on cherche à
stopper le réchauffement climatique !
A mon avis, lui qui fut ministre de la ville devrait prendre exemple sur Fadela Amara et son plan anti-glandouille.
Pour tout vous dire, je n'ai toujours pas digéré son voyage au pôle nord !
Eriam
Photo : Reuters - courtoisie du Web
20 septembre 2007
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[...]Qu'avez-vous envie de faire de votre mandat de secrétaire d'Etat à la politique de la ville ? Je veux que ce soit un secrétariat d'Etat qui, très vite, saute du
gouvernement. Je veux qu'il soit éphémère car cela voudrait dire que nous avons réussi le pari extraordinaire de changer la situation dans les banlieues. Qu'il s'agisse du bâti, avec l'Agence
nationale pour la rénovation urbaine, du chômage des jeunes, que nous espérons faire reculer, ou des conditions de vie en général. Le jour où mon secrétariat d'Etat n'aura plus lieu d'être, ce sera
ma plus grande victoire.[...]
Extrait de l'interview de Fadela Amara auteur du plan "Anti-glandouille" pour les cités.
En voilà une au moins qui ne tremble pas dans ses baskets et qui a envie de faire bouger les choses quitte à se saborder !
Souhaitons-lui bonne chance et espérons qu'elle pourra quitter son ministère rapidement.
Pour en savoir plus sur ses intentions retrouvons-la sur son site et son blog.
Eriam
Photo : Reuters pour le Jdd - courtoisie du Web
20 septembre 2007
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12:11
Les obsèques de Jacques Martin auront lieu cet après-midi en la cathédrale Saint Jean à Lyon en présence de Cécilia Sarkozy et diverses personnalités.
Ce sujet serait-il tabou pour notre président qui ne l'a même pas évoqué officiellement ? Peut-être attend-il le journal de 20 h de ce soir ?
Peu importe, tout le monde connaît l'histoire qui les lie.
De la biographie de cet amuseur public qui a bercé l'enfance d'ex-futures vedettes de la chanson passées comme des étoiles filantes sur le plateau de "L'école des fans" (excepté Vanessa Paradis),
j'ai retenu ses 4 épouses ou compagnes, avec lesquelles il a eu 8 enfants ! Beau score !
Sur les 4 épouses ou compagnes, 2 ont connu les ors de la république : Danièle Evenou mariée à Georges Fillioud, ex-ministre de la communication sous François Mitterrand, et, bien sûr, Cécilia
Sarkozy qui s'installera (peut-être) bientôt dans le palais de l'Elysée.
Ô ironie du sort, c'est dans un palais : l'hôtel du Palais à Biarritz, que Jacques Martin a vécu les derniers mois de sa vie et a expiré le 14 septembre, et c'est à Lyon, capitale des Gaules, qu'il sera inhumé.
Chapeau l'artiste, quel panache !
Eriam
Photo : Gala - courtoisie du Web
19 septembre 2007
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A propos du discours de politique
sociale de NS, ils ont dit :
Le Nouveau centre "se félicite" que Nicolas Sarkozy ait "réaffirmé son souci d'accorder toute sa place au dialogue social". (Encore quelqu'un qui se
félicite !)
"Il y a la reconnaissance de la nécessité d'un dialogue social, enfin !". Nicolas Sarkozy a "perdu cent jours". Devinez ? C'est Ségolène !
"Un véritable virage thatchérien, d'inspiration très dure". Arnaud Montebourg.
"Il s'est attaché à formuler des perspectives concrètes, de nature à concilier efficacité et solidarité et à renouveler le système social français". L'UMP (Mais qui ?).
"Nicolas Sarkozy a planté le décor, il y a encore une part d'indécision sur ce que sera le résultat, mais il a dessiné son vrai projet qui n'est pas de mettre en place un nouveau contrat social
mais de mettre fin au contrat social. Selon lui, "le contrat social était fondé sur un équilibre réel entre négociation et décision gouvernementale ou législative, mais ce qu'il a décrit c'est une
négociation-croupion qui est le paravent de décisions déjà prises". Michel Sapin - Secrétaire National du PS. Je lui accorde la palme pour "le mot du jour" c'est
trop mignon !
"La déclaration de Sarkozy sur sa politique sociale est une déclaration de guerre aux travailleurs (travailleuses)". Vous avez deviné,
c'est bien elle : Arlette Laguiller ! Au secours, elle revient !
Il s'agit d'"un discours de confrontation sociale" qui met la gauche "au pied du mur". M. Sarkozy multiplie "les
bobards". "La gauche a un devoir de résistance frontale". Jean-Luc Mélenchon - Sénateur - gauche du PS.
"Dans la France de Nicolas Sarkozy, il vaudra mieux être riche et bien portant que pauvre et malade!". "Aligné sur Washington en matière de politique étrangère, notre président veut aussi aligner
la France sur les canons de l'ultra-libéralisme anglo-saxon. Ceux qui vivent de leur travail n'ont pas fini de payer pour ceux qui vivent de leurs rentes". Georges Sarre - premier secrétaire
du MRC.
L'Usem, regroupant cinq mutuelles étudiantes régionales, se "réjouit" de l'engagement de Nicolas Sarkozy à "offrir une aide à l'acquisition de la couverture complémentaire beaucoup plus généreuse
et étendue qu'elle ne l'est aujourd'hui", selon ses termes. Enfin quelqu'un qui se réjouit et ne se félicite pas !
"Il y a
beaucoup de sujets qui font consensus", et sur lesquels "tout le monde s'accorde". "Nous aurons une attitude constructive chaque fois que les décisions à prendre, qu'on ne connaît pas pour
l'instant, iront dans le bon sens". Il a souligné qu'il ne voulait "pas avoir d'attitude négative a priori". "Le dialogue social sans brutalité est la condition que ces réformes soient acceptées et
que le blocage soit évité". François Bayrou - Président du Modem.
"Je crois qu'il va falloir penser à la mobilisation des salariés si on veut
changer cette politique sociale". Bernard Thibault - Secrétaire Général de la CGT.
Et comme dirait l'imitateur-humoriste Nicolas Canteloup : "Pour faire avancer les choses, on va arrêter les trains" !
A bon entendeur, salut !
Eriam
Toutes ces phrases ayant été sorties de leur contexte, je me permets de vous conseiller de lire
l'intégralité des commentaires sur le NouvelObs temps réel.
19 septembre 2007
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Non, je n'ai pas l'intention de plaisanter avec le sujet gravissime de l'Iran. D'autre part, ce blog n'a pas pour vocation de commenter l'actualité internationale :
"actualité locale ou nationale, venez dialoguer avec nous !" tel est notre credo.
Cependant, lorsque j'entends que les Etats-Unis "se félicitent" des propos du ministre des affaires étrangères français, cela a le don de m'agacer.
Si quelqu'un ne doit pas s'en féliciter - si l'on en juge par le tollé provoqué par Bernard Kouchner après qu'il eût "proféré cet énormité" - c'est bien ce ministre [...]
qui s'est par ailleurs indigné de l'"hypocrisie" ambiante après la polémique provoquée en France et dans le monde par ses propos tenus sur la crise du nucléaire iranien
[...].
Alors que Nicolas Sarkozy a promis aux Français de ne pas les ménager (ou presque), chaque gros mot sortant de la bouche de ses ministres fait aussitôt l'objet d'un rectificatif de la part du
premier d'entre eux, voire même directement de l'Elysée.
Le locataire du quai d'Orsay est d'ores et déjà convoqué et devra s'expliquer le 2 octobre prochain devant la commission
parlementaire des affaires étrangères.
Bernard Kouchner explosera-t-il en vol comme annoncé pour un certain nombre de ministres ?
Réponse l'année prochaine... si tout va bien.
Eriam
Photo : Christian Moullec : oiseaux en vol traversant le désert - courtoisie du Web
18 septembre 2007
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C'est les autres.
"Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis
profonds. La cause occasionnelle c'est que, au moment où j'ai écrit Huis clos, vers 1943 et début 44, j'avais trois amis et je voulais qu'ils jouent une pièce, une pièce de moi,
sans avantager aucun d'eux. C'est-à-dire, je voulais qu'ils restent ensemble tout le temps sur la scène. Parce que je me disais que s'il y en a un qui s'en va, il pensera que les autres ont un
meilleur rôle au moment où il s'en va. Je voulais donc les garder ensemble. Et je me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais en faire sortir l'une d'elles et les
garder sur la scène jusqu'au bout, comme pour l'éternité. C'est là que m'est venue l'idée de les mettre en enfer et de les faire chacun le bourreau des deux autres." Jean-Paul Sartre
- "L'enfer, c'est les autres".
Je vous laisse méditer...
Néanmoins, mon propos ne s'arrête pas là, mais à ceux de la dame en question.
Pendant sa campagne électorale, se voulant "rassembleuse" de foules, Ségolène Royal prêchait, du haut de la tribune du stade Charléty : "Aimons-nous les uns, les autres", sur le toit du PC de
Solférino : "Tous ensemble, tous ensemble !". J'en passe et des meilleures.
Avisée du déferlement de haine qui s'abat à nouveau sur elle, en voyage dans la Belle Province (Québec), elle répond : "Pardonnez leur, ils ne savent pas ce qu'ils font. Donc, je pardonne à tous
ceux qui m'agressent, parce que d'abord je pense qu'ils me font moins de mal à moi qu'aux socialistes, qu'à toute la gauche." Mais aussi : "J'ai l'impression en lisant tous ces ouvrages que
si j'étais Jeanne d'Arc, j'aurais déjà été brûlée vive !".
N'est-il pas coutume, lorsqu'une grande passion se meure, de brûler ce qu'on a adoré ?
Toutes ces belles phrases de la Dame de Melle tendraient à faire croire qu'elle est prête à tendre la joue gauche après s'être fait souffleter la joue droite (ou plutôt magistralement gifler
!).
Que nenni ! L'on nous dit qu'elle affûte ses armes et, bien qu'il n'y ait plus d'Anglais à bouter hors de France (ils se sont fondus dans la population), la Dame repart en guerre et appliquera la
loi du Talion : "Oeil pour oeil, dent pour dent", dans un livre à paraître bientôt.
Aura-t-elle le dernier mot ? Nous l'espérons sincèrement, car ces ferraillages de bas étage ne sont pas près de redorer le blason du PS.
Eriam
Photo : AN/Reine May - Crescence - courtoisie du Web
17 septembre 2007
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Non, ce n'est pas le titre d'une série B de télévision américaine, mais le résumé, selon les médias et ses meilleurs ennemis, de la vie de Nicolas Sarkozy.
Dans un dossier que je qualifierai d'inintéressant, Christophe Barbier, Directeur de la Rédaction de l'Express, nous rappelle sous le titre "Le problème Cécilia", que son époux souffre d'une
addiction à son égard et qu'elle est "la part non négociable de lui-même". Nous l'avons lu et relu depuis de nombreux mois ainsi que tout le reste du dossier.
Après le numéro glamour du NouvelObs sur le même sujet cet été, tout cela a plutôt le don de nous irriter !
C'est tout pour le chapitre "Amour".
Passons au mot "gloire" : elle est venue après des années de labeur intense pendant lesquels Nicolas n'a rien négligé pour parvenir à ses fins. Le 6 mai, il est devenu Président de la République
Française !
Qu'on le critique ou qu'on l'en loue, c'est un fait et personne ne peut lui retirer le mérite d'être parvenu à réaliser son rêve de gosse.
Et maintenant, "l'argent" ! Mot tabou entre tous dans notre civilisation judéo-chrétienne où l'on n'ose même pas dire le prix de sa voiture à son voisin, et surtout pas... le montant de son salaire
!
Impressionné par l'argent Nicolas ? Eh bien oui ! Quand on doit gérer un pays dont la dette publique, à la minute où j'écris, est de plus de 1270 milliards d'euros on a de quoi l'être !
(Rectifié à 20 h 56).
Mais, bien sûr, dans l'esprit de ses meilleurs ennemis, Dominique Galouzin de Vilepeau et François Bâillemou (récemment réveillé de son long sommeil estival), c'est de l'argent des parvenus ou
dirigeants des sociétés du CAC 40 qu'il s'agit.
Et l'un de comparer notre président tantôt à Napoléon, tantôt au bourgeois gentilhomme, et l'autre
de "déplorer la "fascination" du chef de l'Etat pour l'argent, la "peopolisation" politique et "la jubilation des hot-dogs".
Peut-on croire un instant que le premier fasse la tournée des plateaux de télévision et des radios, tel un voyageur de commerce, uniquement pour dénigrer celui qui a gagné la place qu'il aurait
bien voulu occuper ? Serait-il désintéressé au point d'abandonner les droits d'auteur de son livre : "Le soleil noir de la victoire" à une association caritative ?
Quant au second qui élève des chevaux, les fait-il courir pour le plaisir de dépenser de l'argent sans en gagner en retour ?
Et quand bien même Nicolas Sarkozy serait-il fier de porter une Rolex au poignet, cela le rendrait-il vulgaire pour autant ?
Il est facile de mépriser l'argent lorsqu'on n'en manque pas !
Eriam
16 septembre 2007
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Est-ce l'émotion ressentie par Nicolas Sarkozy lors de son voyage sur la terre de ses ancêtres, ou les turbulences éprouvées dans l'avion qui le ramenait de
Budapest qui l'ont fait critiquer si ouvertement les dirigeants de la Banque Centrale Européenne ?
Toujours est-il que ses propos en l'air devant les journalistes du journal Le Monde ont mécontenté les responsables
européens de la zone euro. Ce d'autant que notre président avait approuvé leur politique peu de temps auparavant.
Nicolas Sarkozy ayant l'intention de faire le tour des capitales européennes, et Budapest étant la première, il y a fort à parier que, s'il continue ainsi, il réussisse à faire l'unanimité...
contre lui !
Eriam
