Le précédent petit exercice fleuri étant pour mettre un peu d'ambiance, je reviens à des sujets plus sérieux que je traiterai cependant avec l'humour qu'ils mériteront ou pas.
Je n'ai toujours pas digéré que la guerre de succession à la tête et pour la tête de l'UMP ait commencé avant que les élections présidentielle et législatives n'aient été derrière nous.
Chaque jour nous apportant un nouveau candidat prétendant être le meilleur d'entre tous, je procrastinerai jusqu'à la dernière seconde avant de mettre mon bulletin dans l'urne qui désignera le successeur de Nicolas Sarkozy, dernier président de l'UMP, remplacé par un secrétaire général, Jean-François Copé.
Toutefois ce dernier, pas si fou et fort de l'expérience de Nicolas Sarkozy, fera peut-être bien cavalier seul pour se mettre (il y est déjà depuis longtemps) dans les starting-blocks du prix du président de la République 2017.
Je laisserai donc passer l'été, une partie de l'automne - si Dieu me prête vie - avant de m'intéresser à la liste des impétrants, dont jusqu'à présent une seule femme, Nathalie Kosciusko-Moriset, fait partie.
Entre Martine Aubry qui récidivera peut-être, Ségolène Royal, certainement, pourquoi ne choisirions-nous pas cette brillante et jeune énarque pour gouverner la France ?
Les adhérents UMP auront-ils le courage d'être enfin féministes en faveur de la meilleure d'entre tous ?
Eriam