Non content de recevoir à l'Elysée les adversaires d'Angela Merkel, François Hollande, le président du PS, envoie son premier secrétaire donner une leçon à la chancelière, la langue bien chargée, et dans celle de Goethe.
Jamais, de mémoire de Français de la Vème République, de tels affronts n'avaient été faits à un pays européen, de surcroît celui vers lequel nous exportons le plus et le seul qui connaisse la croissance.
François Hollande n'appelle pas à l'union de la France en soutenant une candidate PS dans un combat ridiculement tombé au-dessous de la ceinture, mais il divise les Français et met une belle pagaille dans l'Union Européenne.
Il se tourne ensuite vers l'Italie, le pays de la grande "combina", du travail au noir et de la mafia, pour y chercher un appui pour pousser l'Allemagne dans ses retranchements.
Mais où a-t-il la tête ? Il s'acharne tellement à trouver le moyen de couper les nôtres, qu'il perd la sienne et devient de plus en plus malade du pouvoir. Grave maladie s'il en est !
Dans son édito de la semaine, Jean Daniel (NouvelObs magazine), alerte le président du PS sur la gravité de sa déclaration concernant le retrait des troupes françaises d'Afghanistan. "En annonçant la date de ce retrait, FH met de plus en plus en danger nos soldats. L'ennemi va s'acharner sur eux !"
Les Français ont encore une chance d'inverser la tendance et de le remettre à sa place d'homme anormal !
Dimanche, VOTONS MASSIVEMENT POUR UNE FRANCE BLEUE !
Et pour la 8ème circonscription de Seine-et-Marne :
SOYONS REBELLES, VOTONS BRUNEL !
Eriam