Notre président, toujours bienveillant envers les personnes du vingtième siècle, a qualifié les "fake news" ou "fausses nouvelles" de "bobards". Super !
Cette fois, pas de vidéo courte à l'usage des jeunes qui n'ont donc pas dû comprendre ce qu'étaient les fake news, fausses nouvelles et bobards. Heureusement il n'a pas ajouté mon mot préféré : "billevesées", ou pire "balivernes". Ils en eussent perdu l'ouïe et la vue, si tant est qu'ils aient écouté les vœux d'Emmanuel Macron à la presse.
Ceci étant écrit, les bobards font un mal immense à la planète, et particulièrement aux hommes politiques de premier plan. Pardon, également aux femmes puisque Hillary Clinton fut victime des fake news lancées par les Russes lors de la campagne électorale américaine.
En réalité, c'est la planète tout entière qui est affectée par ce fléau de la première partie du vint-et-unième siècle, car il a permis l'élection de Donald Trump, lui-même fléau de tous les continents.
Je dois avouer, et vous serez certainement d'accord avec moi, que nous l'avons échappée belle car, en dépit des bobards lancés sur Emmanuel Macron, c'est lui qui fut L'Elu, envers et contre Poutine.
En ce début d'année, que ceux qui utilisent les réseaux sociaux à travers et surtout à tort, se méfient. Quand on lance un chat en l'air il retombe toujours sur ses pattes. (En fait, cela n'a rien à voir mais il me plaît de l'écrire !)
Eriam
Je crois vous avoir déjà souhaité une année aussi bonne que possible dans notre monde en folie.
Je vous offre, car je l'aime énormément, cette strophe d'une chanson de Gilles Vigneault qui résume ce que je pense.
"Le temps que tu prends pour dire "Je t'aime"
Est le seul qui te reste au bout de tes jours.
Les vœux que tu fais, les fleurs que tu sèmes,
Chacun les récolte en soi-même,
Au beau jardin du temps qui court."
Eriam
