Les deux mon général ! Une différence entre les deux, l'un est en vente très libre, l'autre pas encore . Et ce n'est pas parce que tout le monde (sauf moi) a, dans sa jeunesse, tiré sur un petit joint, que l'on doive généraliser l'usage de l'herbe.
Manuel Valls, lui aussi, a fumé. A le voir, on ne peut manquer de penser que ce ne fut pas sans conséquence sur son comportement. Quant à Jeannot de Nantes, il doit toujours être sous l'emprise des feuilles dentelées si l'on en juge par son œil toujours ensommeillé.
Tout le monde le sait, sous l'emprise du cannabis l'être humain peut faire tout et n'importe quoi, et surtout n'importe quoi.
François le mou avait-il fumé un joint avant de se lancer dans son interminable conférence de presse la semaine dernière ? Le cannabis, c'est bien connu, désinhibe. C'est sans doute pourquoi il a lancé sa nouvelle personnalité de Social Démocrate, et, au fur et à mesure de son inspiration, les nouvelles mesures qu'il souhaite prendre pour redresser le pays, sans toutefois chiffrer l'une ou l'autre.
Des milliards comme s'il en pleuvait pour les entreprises qui embaucheront, sans souci de savoir d'où il les tirera. Des milliards de baisses de charges, des milliards de baisses d'impôts, des milliards d'économies publiques, des milliards, des milliards, des milliards...
Si l'on prend le temps de se repasser les images des ministres lors de l'exercice d'équilibriste de leur patron, l'on peut comprendre que les rares qui avaient quelques notions d'économie tout court, frémissaient de terreur. Comme ils sont tous incapables, ces frémissements échapperont à l'œil le plus acéré.
Valérie aussi a fumé un joint de trop lorsqu'elle a appris combien elle était trompée ce qui lui a valu une cure de désintoxication à la Pitié Salpêtrière. Quelle pitié !
En effet, le Val de Grâce est réservé au chef de l'Etat, à sa famille et aux militaires.
Certains conseillers de l'Elysée donnent pour excuse à François le mou une vie personnelle morne et sans attrait. Des soirées passées à travailler, travailler, encore travailler... Puis à besogner, besogner, encore besogner... Ce qui lui donna un regain de jeunesse !
A-t-il pour autant des excuses ? Que nenni. Un homme qui passe sa vie à tromper ses concubines ne mérite aucun crédit.
Et quand il réclame la confiance du peuple français, peut-il être crédible ?
Eriam
PS. Malgré toute la compassion féminine que j'ai envers Valérie, je persiste à l'encourager à couper le membre gangrené... de son futur ex-compagnon. Belle revanche !
